Nom: Marshall
Prénom: Christopher
Surnom: Chris
Sexe: Masculin
Age: 23ans
Proffession: Agent de police
Description physique: Il est assez grand est athlétique. Il à les yeux verts et les cheveux entre le blond et le chatin clair. N'étant pas en service au moment de l'épidémie il n'est pas en tenue de police mais porte une T-shirt assez serré verts et un jean classique. Il y'a un couteau de combat sur son épaule gauche et un holster pour son pistolet sour le bras.
Description mentale: Chris est quelqu'un d'optimiste et très acharné, lorsqu'il se fice un objectif, il fait tout pour l'atteindre peu importe les obstacle. Il est très intelligent est débrouillard et sais se sortir de beaucoup de situation. Il ne perd pas souvent son sang froid. Son intrépidité peut le mettre dans des situation difficile lorsqu'il ne prend pas le temps d'analyser les conséquences de ses actes.
Histoire: Chris est né d'une mère francaise et d'un père Américain, ainsi fut il élevé des deux manières à la fois. A l'age de 9ans il fut pris dans un braquage de banque, et c'est lorsque la police intervint et sauva la situation qu'il fut assez impressioné pour que cela dirige son choix de carrière. De cette facon il entra dans une des meilleure école militaire à 16ans. Il en ressortit à 18 et s'engagea pour trois ans dans l'armée ou il vécu plusieurs campagnes de combat. A 21ans, son contrat avec l'armée achevé, il alla s'installer sur un petit île tranquille. Il avait vécu le combat, il avait vu des amis mourri et ne voulait donc plus de l'action du métier de policier dans une grande ville, mais fidèle à ses rêves d'enfance, il devint tout de même agent de police. Il travailla donc normalement, et même paisiblement pendant deux ans avant que les choses ne se corsent avec un affaire de père de famille drogué assasinant sa famille. C'est à la fin de cette journée qu'il décida de prendre congé pour la nuit... Ce qui lui sauva probablement la vie. Il fut appelé en urgence mais dans le téléphone ne résonait que des coups de feu et des hurlement. Arrivé au poste il eu une vision d'horreur. Des collègues à lui devenus fous attaquaient d'autre collègues en les mordant, certains étaient atroupés autour de cadavres pour en dévorer les chaires. Il ne put s'empecher de dégainer son arme.