Le réveil, 6:02, insomnie.

Jock se réveilla dans son lit pourrave dans son barraquements pourrave après une soirée agitée. Il avait passé la soirée à boire son whisky et maintenant il avait la geule de bois. Et puis il arrivait pas à dormir parce qu'il était en putain de permission[es-ce que j'ai le droit de dire ça?je l'ai dit que mon perso jure beaucoup.] sur territoire sécurisé. Tout le monde disait que la place était O.K. . Alors pourquoi son supérieur l'avait envoyé ici, bordel!

* Nuit merdique ! *

Il enfila ses rangers et son habit vert olive.

*Que dieux bénissent le temps où on avait des habits différent de celui-là*

Il se leva d'un coup et s'empara de son couteau de combat, qu'il sortit de son protège lame et il joua un peu avec, préférant faire passer le temps à la place d'attendre toute la nuit un sommeil qui ne viendrait pas. Il s'ennuyait de son bombardiers, il l'avait quitté au moment où il était arrivé dans ses barraquements merdiques. En plus il n'arrivait pas à dormir parce qu'il entendait des espèces de gémissement, grognements pas humains. Il préféra aller sortit dehors, respirer un peu, car il entendit quelqu'un entrer dans la zone, il voudrait parler un brin avec un autre militaire qui s'ennuie dans une permission.

Change le titre de ton post, regarde sur la page d'acceuil: le temps est fixé et la matinée entamée, minimum 6h du mat'

Et tu peux jurer tant que tu veux c'est pas un problème, tant que tu n'exagere pas.

Lorsque tu te dirige vers la sortie tu entend un bruit sourd, comme quelqu'un qui tombe contre la porte du barraquement. Lorsque tu l'ouvre un cadavre te tombe dans les bras. Un collègue que tu ne connais pas mais qui porte le même habit que toi. Un air térrorisé est figé sur son visage, et tu voix sans grand problème que sa tête ne tient plus sur grand chose, son cou et presque totalement arraché et le sang se deverse sur toi. Son meurtrier est derrier lui, soit face a toi, et il avance vers toi assez lentement, en trainant les pieds et en grognant. Il est en décomposition et sent la mort à 100 mètres à la ronde.

Agis et vite si tu ne veux pas que le journée soit mortellement écourtée.

Au moment où Jock poussa la porte un officier s'abbatit sur lui, sans vie et un homme était debout plus loin. Il fouilla l'officier,regardant son imatricule, lui révélant que c'était un simple soldat. Il examina et ne trouva rien sur l'homme qui pouvait lui être utile sauf un pistolet traditionnel beretta sans chargeur. Il le mit quand même dans sa poche. Il s'apprêtta à prononcer quelques mots pour le défunts mais deux mains en décomposition lui pressèrent violemment sur l'épaule. C'était l'homme qu'il avait oublié tout à l'heure.

"Bordel! C'est quoi votre putain de problème vous?"

dit-il en repoussant cette personne. L'homme tomba sur le sol après la poussée de Jock et il se releva d'une lenteur effrayante en s'appuyant sur son coude et le bras de celui-ci adopta un position que le corps humain normal ne peut prendre tout en faisant dégouliner un trait de sang. Jock regarda avec dégouts l'homme se relever.


"Putain vieux!m'oblige pas à tirer!"

Dit-il en sortant le beretta vide de balles qu'il avait dépouillé sur le cadavre du soldat en espérant qu'il effrayait l'ennemi potentiel. L'homme continua sa progression avec son allure lente et morbide. Pris de peur, Jock frappa le gars à la tempe avec la crosse de son pistolet. La tête de l'niconnu fit un tour sur son orbitre et revint à sa place, avec un bruit de craquements et une teinte de sang vint s'ajouter à sa figure. Ayant l'air de s'en foutre royalement, l'homme continua son avancé cadavérique.

"Désolé l'ami, j'aurais pas besoin de toi!"

Dit Jock au beretta vide en le fourrant dans sa poche. Il sortit son couteau et sauta sur l'inconnu, il lacéra le visage de l'homme et creva ses deux yeux, laissant des orbitres maculé de sang, celui-ci aveuglé, commenca à sentir les alentours et repéra Jock asser vite après qu'il s'aie placé en retrait à la suite de son attaque. Il couru vers lui et le plaqua sur le mur extérieur d'un barraquements. Il souleva Jock du sol en le tenant fermemant par le torse. Le skelettes sur pattes respira dans sa figure un haleine pestilentielle qui ferait évanouir les coeurs fragiles. Jock rendit alors ses bras libre de l'emprise de l'autre gars.

" Putain! T'es quoi toi, un mort-vivant? Bordel!"

Cria-t-il dans la figure de l'homme tout en lui rentrant son couteau par l'ouverture en dessous du menton, transpercant le machoire et le nez de l'inconnu dans une marre de sang gigantesque jusqu'à ce que la pointe de la lame sort de l'orbitre de l'oeil gauche. L'étreinte de l'homme se fit moins serrée et Jock profita de l'occasion pour frapper avec sa jambe les parties de l'inconnu plusieurs fois. Cela n'ayant pas l'air de causer une douleur atroce au corps devant lui, ses coups firent quand même mal et Jock put toucher le sol et s'enfuir de l'étreinte de l'inconnu.


"Putain de permission de mon cul! Belle petite vacances agréable! Battre des inconnus qui ont l'air inhumain! J'ai ai mon putain de voyage! "

Ayant entré dans une rage soudaine, Jock se rua sur l'homme et le poussa au sol, Il sauta sur l'ennemi et le lacéra partout, sur toutes les parties du corps à sa portées, tranchant la gorge de la victime au moins 7 fois, laissant pisser le sang à flot pour s'assurer qu'il était mort. Du moins, immobilisé ou hors d'état de nuire. Et finalement, il vaincu l'ennemi et se leva tout en rengeant son couteau dans l'étui, s'essuyant les vêtements taché de sang séché et frais tout en respirant rauquement...

[Joli lol je vais juste t'expliquer une chose. Le combat ca ne doit pas être toi qui le fais d'un bout à l'autre. Tu agis pas à pas et moi je dicte les conséquences de chacuns de tes actes. Pour cette fois ca va mais la prochaine fois ne t'emporte pas a ce point. Par exemple le berreta, c'est a moi de dire si il existe ou pas, compris? Bon je te le laisse mais il y'auras une contrepartie que tu découvrira plus tard.]

Le zombi lasséré de partout git à tes pieds, mais tu n'est pas sortit indemne du combat. Ta main gauche est ornée d'une morsure très douloureuse qui commence même à te bruler.

Tu t'apprete a examiner le cadavre lorsque tu entend d'autre grognements, en assez grand nombre et une série de chocs et de cris dans le barraquement d'à coté. La porte se défonce soudainement et une demi douzaine de compagnons morts-vivants en sorts en trainant les pieds. Il commencent à marcher vers toi. Il ne faut pas être grand sage pour remarquer que seul contre eux, tu n'as pas la moindre chance.

Ils arrivent par le sud, et le camp possède une sortie à chaque point cardinal. Le lieux étant une base temporaire pour soldats en permission, il n'ya pas d'armurerie ni de réféctoire, seulement 4 casernes comme celle dont tu sort, et vu ce que viens de cracher celle du sud...

Je te laisse décider de ce que tu veux faire.

[D'accord je recommencerais pas ce que j'ai fait^^' ]

Voyant qu'il y avait au moins six cousin du skelette sur patte de tout à l'heure qui venaient d'arriver, Jock préféra ne pas prendre le combat et opta pour se diriger vers la sortie opposé de où les zombies venait soit celle du nord...
Il se mit à courir, s'éloignant de ses ennemis qui avancait avec une lenteur cadavérique, il s'approchait de plus en plus de la sortie des barraquements.

*Saleté de permission!*

[...]

Ton camp est assez vaste. Tu était dans la caserne Ouest et tu as près de 800m à parcourrir jusqu'a la porte nord. La caserne nord s'ouvre avec fracas et tu voix un soldat, assez jeune, sans doute tout juste la vingtaine essayer de sortir mais il est retenu par un bon paquet de mains qui le tirent vers l'intérieur.

Tu peux parfaitement lire la terreur et l'incompréhension totale sur son visage, ainsi qu'une grande douleur lorsque les dents de l'un des monstres viennent pénétrer sa chaire pour lui arracher un lambeau de bras. Puis il s'y mettent à plusieurs et tu ne peux retenir un haut le coeur quand deux mains en décompositions plongent dans son abdomen.

A moin que tu ne veuillent te joindre au banquet, la porte nord te parait une très mauvaise idée.

Un nouveau choix?

Dans l'impossibilité de continuer, Jock tourna à droite, prenant comme cible la porte de l'est, espérant qu'aucun mort-vivants ne viendrait l'arrêter dans sa fuite. Il dégaina son couteau pour augmenter le sentiment de sécurité qui semblait l'avoir abandonné. Serrant fermement la poignée à cause du stress qui le rongeait.

*C'est pas ma saloperie de journée.*

Se dit-il tout en évitant de trébucher sur des objets au sol mais aussi en repensant à l'officier qui venaient de se faire tuer devant ses yeux par des mains qui semblaient innombrables...

Ton coeur bat de plus en plus vite et ta gueule de bois n'aide pas à controler ta panique totale. De plus ta main te fait horriblement souffrir. Alors que tu cours, tu continu d'entendre des hurlement derrière toi, c'est un véritable boucherie. Ce qui t'attend à la porte est est encore pire que tout ce que tu as pus voir jusqu'a maintenant. Il y'a au bas mot une vingtaine de zombies, en habits civile qui frappent la porte grillagée pour esseyer de la défoncer. Parmis eux des hommes, des femmes et même des enfants.

Tes choix commencent a se limiter n'est ce pas?

"Putain c'est quoi votre problème!!!"

Cria Jock avec une voix éraillée par la peur. Il bouffa des tonnes d'air, sentant la nervosité prendre le dessus et le controler. Il ne lui restait qu'une issue encore envisageable... La porte Ouest. La sud étant bloqué, l'est et le nord aussi, peut-être avait-il des zombies à celle de l'ouest, il fallait essayer, quitte à défoncer quelques-uns des mort-vivants. Si jamais la porte était aussi condamnée, il se ferait sa fête ou tenterait d'escalader les grillages du campements mais sa main étant blessé, ses facultés d'escalade régraissait ainsi par conséquence.

*Bordel, faites que la porte Ouest soit franchissable...*

[...SUSPENSE...]

Passer de l'est a l'ouest commence à se faire difficile. Premierement tu entend un gros craquement suivit d'un bruit métallique, tu peux aisément en déduire que la porte derrière toi viens de tomber, comme la moitié du mur est d'ailleur. Tu est vaguement prit en sandwish.

Mais bonne nouvelle!!! Il n'ya pas de zombie vers l'ouest. Juste un paquet de barils et de caisses qui bloquent la porte devenue inutile parcequ'aucune route ne passe par la. Et les zombie sur s'approchent dangereusements... Ils sont à 20 mètres de toi.

Les caisses sont empilés et avec un peu de chance tu pourrais les escalader sans te casser la gueule et mourrir dans d'atroces souffrances avant de rejoindre le camps de monstres!

Que de bonheur en perspective

"C'est bien ma chance!"

Se dit Jock en voyant la montagne de baril qui lui semblait infranchissables à cause de sa main qui le faisait attrocement souffrir. Il fallait tenter le tout-pour-le-tout. Il posa sa main sur le premier baril, que de douleur. Il continua tout de même, préférant ne pas regarder à l'arrière. Il escalada ainsi le deuxième baril et ensuite une caisse et puis une autre. La progression se faisait sans trop grande difficulté. Il posa ainsi sa main droite sur un baril mais celui-ci lui tomba dessus, frolant la chute, Jock se ratrappa avec sa main gauche, blessée.

"AAÏÏÏÏÏÏEEEE!!!! MERDIER!!!!

et puis une idée géniale lui vint en tête en voyant le baril tomber: balancer des caisses et des barils sur ses poursuivants, cela les ralentirait surement...

L'idée de ralentir tes pousrsuivent te parait génial jusqu'a ce que tu vois leu nombre, ils semblent être une bonne soicantaine voir plus et il y'en à d'autre qui entre par l'entrée est que tu parvient à voir de la ou tu es.

Les zombies les plus proches commencent deja a bousculer la montagne de barils et il te reste quand même quelques mètres à parcourir.

Depeche toi tant que c'est un peu stable!

Jock fut prit du crise de peur quand les zombies commencèrent à ébranler la montagne où il se tenait. Il se crappona à un baril, pour se sentir en sécurité mais le baril bougait tout autant que la montagne de caisse. Il se resaisit:

*Quelques putain de bordel de mètres! Je peux le faire!*

Il se leva et se positionna sur un baril, il escalada un autre et puis failli tomber, mais il évita la chute de justesse. Il pouvait presque tendre la main et toucher le haut du grillage qu'il voulait franchir. Il décida de continuer ses derniers centimètres crucial en courant sur les dernières caisses restantes. S'il tombait, il essaerait de tomber de l'autre coté du grillage. Quitte à se blesser un peu, tout pour se sortir de là...

Tu réussis au prix d'un effort surhumain et d'une énorme dose de chance à passer de l'autre coté, et ta chutte est amortie par les ahutes herbes. Tu souffle un moment, un peu sonné. Mias ton calvaire est loin d'être terminé, en effet une fois les caisse et barils poussés, les zombies s'attaquent à la cloture. En regardant autour de toi tu ne vois pas grand chose. Sur ta gauche, donc au sud se trouve la mer à environ 500m. En face de toi, à l'ouest tu vois la plaine s'étendre à perte de vue en suivant la mer. Et a droite la ville. Tu apercois une borne indiquant 3km. Il faus faire ton choix entre la mer, l'inconu, et la ville dont tu ignore tout de la situation.

Ha et, sans vouloir te faire paniquer, tu entend les fixations du grillage casser une à une.

Le premier kilomètre se passe relativement bien. Un petit coup d'oeil en arrière te révéle que les zombies sont encore dans le camps et qu'ils ne te poursuivent pas. Par contre de temps en temps il te semble percevoir des mouvement rapides dans les hautes herbes à coté de toi, et tu penses même avoir entendu des respirations rauques et irrégulières.

Il te reste 2km à parcourir et tu commence dejà a fatiguer un peu. Effet de la gueule de bois te dis-tu.

Alors la le choix est délicats... Soit tu t'arrete pour regarder ce qui te poursuit, si tu es poursuivit. Soit tu ignore ce mauvais préssentiment et tu cours encore mais la tu prend le risque d'être attaqué une fois épuisé.

Alorsque tu scrute les hautes herbes tu continu d'entendre des bruits de pas... une seule choses est sur. Soit ils sont plusieurs, soit il à plus de deux pates, de plus il se déplace rapidement... ce n'est donc surement pas la même chose que ce que tu as vu jusqu'à maintenant.

Soudainement tu vois les hautes herbes bouger au loin, le mouvement s'approche à grande vitesse de la route, entre toi le camps militaire, à environ 20m de toi. Puis une ombre surgit de l'herbe et s'arrete net, dérapant quelque peu sur la route. La chose te regarde en grognant, écume à la gueule. Il s'agit... non il s'agisait autrefois d'un chien... en Doberman pour être exacte. Ce genre de chier fort, rapide et intelligent était utilisé par l'armée pour te multiple tache. Il est maintenant en décomposition comme les zombies, mais contrairement à eux cela ne semble pas avoir réelement affecté sa motricité et ses reflexes.

Il hurle et te regarde avec appétit.

Regarde comme il est beau:

[Il est vraiment tout cute ]

Jock vit le chien zombifié avec une pointe de dégout profond. Il regarda un peu et en déduisit qu'il n'était surement pas capable de fuir face à ça... La meilleure chose était de se battre, voyant qu'il n'y avait pas d'autres zombies près de lui qui aurais la bien mauvaise idée de s'attaquer à lui en même temps qu'il se battait avec un chien enragé. Il dégaina son couteau de la main droite et il tendit la main gauche vers l'avant comme on fait pour appaiser un chien normal. Voyant que le geste ne fonctionnait pas, il se dressa sur place et essaya d'effrayer le zombie-chien pour que celui-ci s'enfuit. En vain, il arrêta et se mit sur place, attendant que le chien l'ataque pour qu'il puisse bien porter un coup. La défense était préférable...

Le chiens ne perd pas la moindre seconde, il cours vers toi à une vitesse folle et bondit dans les airs. Tu a très peu de temps pour réagir. Il y'auras un part d'habileté certe, mais la CHANCE jouras un rôle important dans ta parade.

Dis moi ce que tu tentes et je m'occupe du résultat. Aussi choisit un nombre comprit entre 1 et 6 (entre crochet en fin de ton post)

Jock voie la scène avec une lenteur étouffante tellement elle est cruciale... Il serre son couteau très fort tout en soufflant rauquement a cause de l'essouflement. Il prends le temps de penser à l'attaque qu'il fera, car il n'aurait qu'une seule chance.
Au moment où le chien bondit dans les airs dans sa direction, il sauta de facon à se retrouver en dessous du chien et ainsi le frapper a mainte reprise , mais il ne sais pas vraiment si c'est coup affecte l'ennemi...

[c'est correct ca?]

[2]

hmmm... Bonne pioche... c'est pas drôle les vainards.

Ton premier coup de couteau atteint sa cible... la rencontre est donc déjà écourtée, comme la non-mort du chien dont le couteau à traversé la tête. D'ailleur il y'a une jolie trainée rouge-rose sur la lame... apétissant.

Au loin, tu entend un hurlement canin. Il viens du camps de la ou toi tu viens. Ce hurlement donne des sueurs froides.

Il n'y plus grand chose à faire à part... marcher... aller, 1km a pieds, sa useuh sa useuh...

( putain, un autre?)

Se dit Jock en entendant le hurlement au loin, il ne tenait vraiment pas à rencontrer un autre chien enragé comme l'autre de tout à l'heure. Il continua ainsi à marcher, alterné jogging pour arrivé la ville, mais il espérait tout de même qu'il n'y avait pas d'autres zombies en ville parce que sinon ce serait un vrai merdier. Il serrait son couteau très fort pous se rassurer pendant les derniers instants qui le séparait de la ville...

[dsl si je poste po souvent]

Les hurlement canins semblent de plus en plus distant mais autre chose attire ton attention. Une voiture, un pick-up rouge, fonce vers toi. Il semble arriver de la ville et viens dans ta direction assez rapidement. A toi de savoir si tu essai de te faire remarquer ou de te cacher le mieux possible.

Et surtout le chauffeur et il amical ou hostile?

"Une Voiture!!!"

Se dit Jock sans penser que ce pourrait être des ennemis qui la conduisait, l'évidence c'était qu'un copain militaire venait le chercher! Sans aucun douet, après s'être foutu dans un gros merdier, les militaires venait souvent le chercher ensuite... parce que c'était le cas, il se foutait souvent dans un merdier monumental...

"HEYYYYY' ICI BORDEL!!! TOURNE ICI !!!"

Cria-t-il tout en ajitant les bras...