La conception du Zombie: le bureau au rez-de-chaussée

~C'est le bureau où travaille habituellement Alexandre. Petite pièce, typiquement bureau modrne. Les fenêtres sont en plexiglass, l'ordinateur est un Windows XP dernier cri. Elle n'a aucun mot de passe. Une bibliothèque mal rangée est accotée au mur, de nobreux fils dépassent des prises électriques adjacentes. L'éclairage est bon, bien que très électrique, digital.~

Alexandre regarda, appeuré, le Zombie s'approcher de sa fenêtre. D'une manière habituée, il tripota les nombreuses clefs qu'il avait dans ses poches. Il cligna les yeux, puis pensa quelques instants qu'il s'agissait peut-être d'une blague d'un de ses collègue... avant de se rappeler qu'il venait tout juste de créer le zombie informatique. Rapidement, il empoigna sa malette de travail et ferma son ordi en débranchant tous les fils désorganisés. Par accident, il décrocha le fil du générateur que les autorités avaient installé ici. Ce qui eut pour effet de faire disjoncter le système électrique de l'étage. Alexandre gémit un court instant, mais se reprit et entreprit de fermer les lourd et sombre rideaux devant la fenêtre. Il ouvrit sa porte à la vollée, puis passa lentement sa tête. Il espérait ne pas avoir de mauvaises surprises. La pièce baignait dans une lourde obscurité.

Alexandre s'eclipsa lentement sous les coups répétés et de plus en plus menaçants qui provenaient de la fenêtre. Il DEVAIT monter à l'étage, pour se rendre à la cuisine... mais les bruits et les cris commençaient à l'intimider et à le rendre inconfortable... N'étant pas stupide, il décida d'utiliser la cage d'escaliers pour se rendre à l'étage, car de mauvaises surprises pourraient l'attendre dans l'ascenceur... D'ailleurs, il en concevait lui-même régulièrement... Il s'approcha à pas de loup, mais rapidement. Il ouvrit la porte, qui émit un grincement exaspérant. N'osant plus respirer, Alexandre prêta une oreille attentive quelques secondes, avant de tenter de surmonter sa peur. Il monta le plus silencieusement qu'il pouvait les marches, avant d'arriver dans le couloir du haut. Du sang tachait les murs, ce qui eut presque l'effet d'un haut-le-coeur sur Alexandre. Il regarda le parquet quelques instants, tout aussi souillé, puis il s'approcha de la pièce qu'il reconnaissait comme étant la cuisine, sans toucher aux murs. Il ouvrit la porte lentement, redoutant ce qu'il allait y retrouver...

Le sang qui tachait le mur de la cage d'escalier pour couler sur le sol fait une grande trainée sur celui ci jusqu'a la cuisine. Au centre de la salle se trouve un cadavre bien mort celui-la. Il à le ventre completement ouvert et ses organes internes semblent avoir disparus. Des traces de pas dans le sang te mènent droit à un collègue de bureau debout, te fixant avec... apétit. Un de ses bras est par terre à ses pieds et de sa bouche pend ce que tu arrive difficilement a identifier comme un morceau d'intestin de près de 30 cm de long. Cette vue te donne la nausée, mais tu doit réagir vite car le monstre se dirige maintenant vers toi.

A ta droite se trouve un table avec quelques chaises autour, des tasses renversés et des cuillères... Un peu plus loin derriere le cadavre éventré se trouve le comptoir avec plusieurs tiroir. L'un d'euxtombé au sol et tu apercoi la lams d'un couteau dépasser d'en dessous.

Réagit vite!

Une horreur gigantesque s'empara de lui, et c'est avec répugnance qu'il aperçu un couteau ensanglanté, juste en-dessous d'un tirroir renversé. Il s'en approcha rapidement, honteux de comprendre que l'intestin dans la bouche de son ex-collègue est celui de l'homme mort sur la table. Tout en marchant, il renverse un peu de ses trippes sur le sol, dans un bruit écoeurant. Prenant le tirroir dans ses mains, il le projète impulsivement sur le zombie qui l'attaque. Il prend le couteau dans ses mains, puis fuis vers la porte, glissant sur le sol. Il tombe sur un tas un peu plus mou, puis s'écrase sur le sol. C'est en rampant rapidement qu'il s'approche de la porte

[désolé pour le petit post: je n'avais pas beaucoup de temps... je me reprendrai si je peux...]

En regardant derriere toi tu réalise avec horreur que tu n'a pas glissé, mais tu as été retenu par l'éventré que tu croyais bel et bien mort. Il tire sur ta jambe dans le but évident de te gouter le pied, d'ailleur sa machoir s'approche dangereusement de son but. Pendant se temps l'autre continu d'approcher. Tu es dans une situation très délicate et visiblement la sortie ne te sera pas salutaire tout de suite. Il ne te reste que l'option de faire front aux problèmes, mais une question demeure:

Comment vas-tu t'y prendre?

Alexandre dérapa... mais se rendit compte qu'il était retenu. Les yeux du cadavre vivant roulaient horriblement dans leurs orbites, alors qu'une odeur pessentielle sortait de sa bouche, même s'il ne respirait pas! Alexandre vomit de nouveau, mais cette fois, couteau à la main, il attaqua la poignet du zombie. Il donna de grands coup, mais l'os du poignet, déjà un peu rammoli, tenait bon. Il leva haut son arme de fortune, puis l'abbatit dans un craquement sonore sur le poignet du mort-vivant. Malgré la présence d'un sang noir dans les veines de ces créatures, le couteau ne se tacha pas. Pas avant qu'il n'atteigne la cheville d'Alexandre, qui était placée en dessous du poignet!!! Le couteau de cuisine entailla légèrement sa chair, le sang gicla un peu, mais peu longtemps. Il donna quelques coups avec son autre pied sur le zombie-cadavre-éventré, puis se remit à ramper avec espoir vers la sortie. Regardant à l'arrière, il vit approcher l'autre zombie. Il tenta de se remettre debout, et y réussi, avec peine. Il s'accota quelques instants sur le mur, taché de sang... malgre que plus rien ne pouvait le dégouter plus vraiement que ces créatures...

Le zombie ne semble pas réelement affecté par la perte de sa main qui est d'ailleur encore sur ta jambe, mais les coups de pieds lui on défoncé le crane le tuant sur le coups, et cette fois pour de bon, du moin le souhaites-tu. Le second commence à grogner lorsque tu t'éloigne de lui, et bien que toujours lent, ses pas se font plus pressants, et ses grognements de plus en plus intenses, sans doute extié par la faible odeure de ton sang. Les options qui s'offrent à toi diminuent. Il te reste une porte dans le fond de la cuisine, la porte de la cage d'escalier derrière toi, ou la fenetre derriere le zombie qui débouche sur la rue, trois mètres en contrebas.

Agis, et vite.

Alexandre voyait la fenêtre, qui était une option souriante. Il se souvenait que les boîtes de déchets étaient placées en bas d'une fenêtre de ce côté de l'étage... Il espéra de tout son coeur que le concierge était déjà mort (chose que l'on espère pas d'habitude...), car s'il était en vie, c'est à cette heure qu'il devrait normalement les vider... Il courut vers le bord de la fenêtre, glissant un peu sur le sol, puis entreprit de défonçer la fenêtre. N'y arrivant pas, il prit la casserole en fonte à côté de lui, et donna des coups sur la vitre. Bientôt, elle céda. Le zombie avait toujours plus d'avance... Il pencha la tête, mais ne pouvait voir le sol à partir du trou. Le zombie étant trop proche, il sauta. En sautant, à travers le carreau grossièrement brisé, il s'égratigna un peu, déchirant par le fait son plus propre et lpus beau pantalon. Il jura, dans les airs, puis atterit lourdement et avec mal sur... quelque chose de mou. Espérant jusqu'à devenir croyant, lui qui était atthé, qu'il s'agissait bien des poubelles...

Au moment ou tu saute le zombie t'accroche par derriere et il est entrainé avec toi dans ta chutte. Le vol te parrait durrer plusieurs longues minutes, mais arrivé en bas l'atterrissage est amortit par les poubelles. Ouf sauvé, de plus le zombi qui est tombé avec toi à eu moin de chance, il c'est fracassé le crane sur le béton du trotoire.

Tu vois maintenant pour la premiere fois ce qu'est devenue la ville. Des voitures accidentées, des cadavres par endroit. A travers toute la ville tu entend des hurlement, quelques uns non loin de toi. Il y'a aussi des coups de feu irréguliers. Les plus proches semblent venir du commissariat situé quelques rues plus loin.

Tu semble tiré d'affaire pour le moment, mais tu devrais bouger vite avant que cela ne change.

Il entendit des coups de feu. Alexandre ferma les yeux par réflexe, mais cela ne servant à rien, il décida d'aller faire un tour d'agrément (!) au commissariat: si coups de feu il y avait, alors, il fallait quelqu'un pour les tirer! Conclusion: il y avait, ou il y a, quelqun de vivant au commissariat. Se débarassant de la main collée à son pied, il se mit à courir faiblement, s'accotant parfois au mur pour reprendre son souffle. Le gym serait un bon choix, si jamais il sortait un jour vivant de ce monde, qui mériterait plus le nom d'enfer... Alors qu'il avancait, une voiture explosa à ses côtés, des morceaux de verre lui tombant dessus. Un particulièrement plus grand lui entailla légèrement la joue, mais le sang se répandit peu. Alexandre commença à courir, rapidement, et plus assuré, cette fois. Son veston noir flottait vers l'arrière, alors que sa chemise blanche, maintenant teintée rouge, commençait à se détacher légèrement. L'adrénaline lui donnait tellement de force du désespoir qu'il ne reprenait même plus son haleine. Les coups de feu avaient cessés pendant un court instant, mais dès qu'ils eurent reprit, il commença à ralentir le pas. C'est alors, à un coin de rue, qu'un spectacle morbide et nauséabond lui apparut: face au bâtiment administratif dont il était encore dans la limite légale, des cadavre s'empilaient, alors qu'un homme, seul, possédait étrangement une arme et tirait sur les cadavres vivants. Alexandre vomit.

Alors que tu est occupé à alègremment renvoyer le reste de ton petit déjeuné par la ou il devrait normalement passé dans le sens inverse, l'homme armé disparait dans le commissariat en fermant la porte derrière lui. Si tu tiens à tenter de le voir, tu devrais passer par le vingtaine de zombies encore sur pieds (enfin... y'en a quand meme quelques uns qui rampent) qui frappent à la porte bien solide. Sinon tu peux tanter une échelle de secours que tu aprecoit, alègrement dégagée de tout monstres... le seule problème c'est qu'elle mène au deuxième et que tu ne sais pas ce que tu vas y trouver. D'autres coups de feux retentissent mais tu les entends beaucoup moins, ils viennent de l'intérieur du commissariat. Tu peux bien sûr changer totalement de destination.

A toi de voir ce que tu veux faire.

(Si tu décide d'entrer au commissariat change de topic, passe dans celui déja créé pour Chris.)

Voyant l'humain aller à l'intérieur, Alexandre resta figé de peur. Il remarqua la présence de la l'échelle de secour, mais réalisa dès lors que c'était du suicide, s'il se jettait dans cette fosse aux lions. Encore une fois, machinalement, il tripotta ses clés... et pensa à sa voiture! S'il y avait bien un moyen de rentrer, ce serait d'essayer de défoncer les murs ou la porte. Ou au moins, écraser (essayer...) les nombreux Zombies... Il se retourna et se dirigea vers son point de chute, croisant par le fait le cadavre, ce qu'il en restait, du zombie qui l'avait affectionneusement accompagné dans sa descente. Les morceaux de verre de la voiture se cassaient sous ses pieds, alors qu'il avait déjà abimé la moitié qui lui importait de son garde-robe... Il vit dépasser quelques membres humains des sacs de déchetssur lesquels il était tombé, mais ne vomit point cette fois (peut-être est-ce parce que son estomac commence à s'y habituer, ou peut-être parce qu'il ne reste plus rien...). Il s'approcha de la direction du parking souterrain, qui était en vue, alors qu'il remarqua qu'il n'entendait plus du tout de coup de feu. Cependant, les cris déchirant des damnés parvenaient à ses oreilles, sans l'affecter réellement: il commencait à comprendre la nature de ces créatures...

Tu entre sans problème dans le parking souterrain. Le garde de sécuritée à l'entrée a disparut. Sans doute a-t-il fuit, ou c'est il fait emporté par un quelconque monstre rodant dans le coin. Tu apercoi ta voiture presque intacte. Seulement la vitre arrière brisée. Il n'y pas le moindre son dans la parking, ce qui est à la fois rassurant et opressant.

En voiture Simone :p ?

Alexandre se demanda ce qui avait bien pu casser la vitre arrière, mais ne s'attarda pas à ce léger détail, même s'il pouvait tenir sa vie en mains... La serrure de la porte semblait brisée, même si ce n'était que le stress d'Alexandre qui le faisait trembler quand il essaya de placer la clée dans le trou. Furieux, il brisa sa fenêtre en prenant son veston et en en faisant une protection pour sa main. Le veston, maintenant inutile et taché de sang frais, fut délaissé sur le sol, sans pour autant rester là toute sa vie... Alexandre prit place sur le siège du chauffeur, et mit la clé dans le contact. Il tourna, mais le moteur ne fit que des toussements... Il réessaya, effrayé, espérant de tout son coeur que ça fonctionnerait...

Le moteur démarre apres plusieurs essais. Le tableau de bord s'annime: Quelques voyants s'allument les voyants ceintures de sécurité avant gauche et arrière droite. Ainsi que le voyant moteur... En clair boucle ta ceinture et profite au maximum le moteur ne dureras surement pas longtemps. D'ailleur le moteur n'a pas exactement le même son que d'habitude.

Tu as juste a avancé vers la sortie grande ouverte pour quitter cet endroit maudit, mais pour aller ou?

Sors déja de la et on verra après

Alexandre n'attacha même pas sa ceinture tellement il était pressé. Il mit le pied au tapis, alors qu'un bruit d'enfer correspondant au crissement des pneuxs sur le bitume résonna dans la salle écho. Il défonça la barre de passage, puis tourna à sec dans la rue, vers la gauche. Il s'avança dans la rue, puis, après quelques tournants, il arriva à un embranchement. À gauche se trouvait le chemin pour aller chez lui. À droite, vers la centrale. Il avait tout le choix du monde. Il décida de renoncer à aller au commissariat, puis brûla la rouge pour se diriger chez lui, espérant de tout son coeur qu'il n'aurait pas de mauvaises surprises, que ce soit en chemin ou à l'arrivée... Rageur, il frappa sur le volant, pour ensuite se concentrer sur la route.

Alors que tu prend un virage pour te diriger chez toi tu entend un choc sourd juste derrière toi... dans la voiture, bien que tu ne te souvienne pas y avoir laisser quelque chose. Un rapide coup d'oeil dans le retroviseur et ton sang ne fait qu'un tour, et une douleur te traverse l'estomac. La gars de la sécurité est la, avec quelques morceaux de verres dans le visage mais il est la... pas vivant, mais pas mort non plus, comme les autres. Mais étrangement il ne parvient pas à t'atrapper. Tu réalise assez vite qu'il est attaché par une ceinture de sécurité et qu'il n'a pas de bras... en fait tu apercoit vaguement une main dépasser de ton coffre, poser sur le dossier du siege.

Et comme si ca ne suffisait pas!!! une alerte retentit tandis que le voyant moteur commence à clignoter et de la fumer s'échape du capot. L'endroit semble calme et si tu juges nécéssaire de le faire tu peux t'arreter au milieu des voitures accidentés et autres bus renversés pour regarder ce qui se passe.

Ton passager commence a grogner... il est inofenssif comme ca pour le moment.

Alexandre ferma les yeux de panique quelques instants, et rallentit considérablement. Pas pour s'arrêter, mais il ouvrit la portière (qui s'arracha sur une autre voiture). Une fios arrachée, il prit un morceau de bois qui trainait, et le plaça sur le frein. Rapidement, il accomplit sa manoeuvre et sauta. Il tomba sur le dur béton de cette route moderne, en effectuant involontairement des roulés-boulés sur le côté. Il tenta maladroitement de se remettre debout, et y réussi, accoté dur un bus. Des larmes perlaient dans ses yeux, tant la douleur avait été intense. Du sang supplémentaire tachait à présent son linge, et ses mains étaient plus que rouge... Il regarda sa voiture avancer seule quelques instants.

Tu entends un grand craquement lorsque tu saute de la voiture, c'est ton avant bras gauche qui c'est brisé. Forcement à sauter d'une voiture en marche...

Tu observe ta voiture quelque secondes, tu ne la perd pas de vue avant qu'un gros camion semi-remorque ne la fauce à un croisement. Tu à tout juste le temps de voir que le conducteur est à moitié encastré dans le pare-brise. Apres encore quelque seconde du entend un grand fracas est une explosion, et tu apercoit quelques débris en feu voler.

Une fois le calme revenu, tu sens des vibration dans le sol... sous le bitume et tu entend un grondement sourd.

Reste tu pour voir la cause de se grondement?

Alexandre écarquilla ses yeux lorsqu'il entendit le grondement. Tremblant quelques instants de peur, il commença alors à courir, regrettant presque d'avoir laissé son transport. Un champ de maïs s'étendait à ses côtés, alors que dans une de ces sections s'ouvrait un petit chemin. Étrangement, Alexandre opta pour cette option, plutôt que de continuer àtrembler, ou commencer à courir vers sa maison... qui est très loin... Frappant quelques épis parfois trop penchés, il commença sa traversée probablement périlleuse, cette aventure improvisée. Son bras le faisait plus qu'atrocement souffrir, mais il tenta d'ignorer cette douleur jusqu'au prochain médecin...

Le fracas que tu entend derrière toi ne te donne pas envi de te retourner. Un mélange de son d'engins de constructions et de tôles se froissant horriblement, suivit d'un... son de métal tordu et de vitre brisée. Le champ de maïs se révèle étroit et te mène sur la route centrale a nouveau, tu as donc courrut en courbe sans le savoir, mais tu est un peu plus loin et ne vois pas ton point de départ. Tu as franchi un paté d'immeuble en te dirigant au nord. La ville que tu connaissais pourtant ne te parait plus familière, sans doute la peur et l'ambiance morbide. En tout cas tu voit au moin ce qu'est devenue ta voiture... elle est encastrée dans un immeuble, un baque apparement, tout comme le camion est une partie de sa remorque dont le contenu, des caisse métalliques ornés d'une croix rouge en forme de +. Tu apercoit aussi le sigle Pharma-corp.

Ou vas-tu? Que fais-tu? tant de question dans mon esprit tordu :p j'immagine déjà une tone de coups bas...

Alexandre vit les caisse. Il devait surement y avoir quelque chose qui pourrait l'aider, des médicaments dangereux en seringues, ou des couteaux plus coupant que le sien! Il commença à courire, quelques mètres, avant que la douleur de son bras se fasse violente. Cette douleur lui rappela qu'il y aurait également de quoi se soigner... Plaçant une main sur son épaule, il commenca à courir vers les piles de caisses. Ses bruits de pas résonnaient dans la nature, alors que son couteau restait dans le champ, abandonné par un excès de confiance...

Arrivé devant les caisses tu te heurte à ton premier obstacle dans ta quête pour les ouvrir: Elles sont métalliques, assez solide pour avoir résisté à l'accident, et vérouillées par une serrure. Aucune d'entre elle n'est le moindrement abimée.

Message cours mais obstacle de taille!